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Prospero Burns par Dan Abnett (D:5/5 E:4/5)

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Message  Le Dindon Jeu 13 Jan - 16:06

L'hérésie d'Horus, encore ! Mais par Dan Abnett, cette fois : le second tome de la tragédie des Thousand sons et des Space Wolves attendue depuis bien un an en anglais....

Résumé :
Un conservateur, Hawser, sorte d'archéologue impérial, part pour Fenris pour étudier la sauvage sixième légion Astartes. Mais l'époque est troublée : la grande croisade se trouve à son tournant et, alors que l'Empereur regagne Terra, laissant à Horus le soin de guider Ses armées, déjà de sombres rumeurs accusent les Thousand sons et leur primarque Magnus le Rouge. L'histoire est en marche et bientôt un monde va brûler...

Alors commençons par mon avis sans détour : ce livre est une tuerie. Il devient dès à présent un sérieux compétiteur pour le titre de tome préféré de la BL, de mon point de vue. Abnett regagne tout le crédit qu'un Légion lui avait fait perdre à mes yeux. Je rends grâce à l'Empereur de nous avoir donné Abnett. Voilà, c'est dit.

Ensuite, une note pour ceux qui vont lire le livre et un avertissement.
Ce roman ne reprend pas les événements de A Thousand Sons. L'histoire se passe au même moment et suit la même trame de contexte et de background. Les évènements du roman de McNeill sont là, en filigrane, mais ne sont que rarement explicités. Il s'agit, si on veut, du côté pile alors que A thousand Sons était le côté face. Etrangement, c'est le roman sur les loyalistes qui explique les événements ayant eu lieu en coulisses. Cela signifie qu'on ne voit pas le combat russ/magnus, ni les délibérations de Nikea etc. Je ne pense pas faire un spoiler en disant ça. La force de l'histoire est ailleurs. En plus, ça on a déjà vu.
En particulier, on suit un personnage humain tout au long du roman, ce n'est pas un marine, pas un primarque etc... Le roman ne se résume pas à illustrer ce qu'ont fait les space wolves pendant cette période. De longs passages ne sont pas, à proprement parler, directement liés à l'Hérésie. leur valeur est ailleurs.
Ainsi, j'ai lu des critiques qui se déclaraient déçus : pas assez d'action, pas de descriptions des événements mentionnés plus hauts, des longueurs, un début à leurs yeux lent et sans intérêt pour le contexte global.
Je ne leur dis qu'une chose : "Fi !"

Et ouais, chuis comme ça, moi.

Plus clairement, je crois qu'Abnett a fait bien mieux que ça. Il n'a pas pondu une bonne histoire de l'hérésie d'horus. Il a écrit un excellent roman qui s'avère être inscrit dans le cycle de l'Hérésie d'Horus. Sa valeur ne provient pas seulement du thème ou des révélations.
L'histoire vaut le coup pour elle-même : le personnage principal, le héros qu'on suit est très bien travaillé et intéressant. On a vraiment envie de savoir ce qui lui arrive et pas seulement de voir ce qui se passe autour de lui. J'ai beaucoup aimé ça. Effectivement, on n'est pas plongé dans la conspiration et l'hérésie d'un bout à l'autre et ça peut agacer. Mais je préfère un bon bouquin et une intrigue intelligente qu'une succession de révélations et un scénario trop direct ou prévisible ou convenu. Là, j'étais content.
Bon, je sais que ya pas si longtemps, je râlais parce que Aaron nous servait un roman où on suivait un personnage loin de la vraie action (cf the first heretic). Et que là, je dis que c'est super. Suis-je encore devenu fou ? aurais-je fait une overdose de fluff ultramarines ? Ai-je involontairement tué un avatar ? Pas tout à fait.
La principale différence, c'est que les événements de la trame d'Abnett ont été décrit avec assez de détails dans le premier roman. Reprendre le tout serait juste fastidieux. Dans le roman Word Bearers, c'est un pivot de l'Hérésie qu'on nous empêche de voir. Ensuite, Il y a l'intrigue : on veut en savoir plus sur les mystères qui entourent cet archéologue de Terra au milieu des loups. Dans le roman d'Aaron, le perso est sympa mais autrement, bof. Enfin, Abnett a quand même une maitrise que Aaron n'a pas (encore ?). Mais je comprends que certains se soient sentis déboussolés par les choix de l'auteur.

En effet, Propsero Burns est peut être un des romans de Abnett les plus travaillés au niveau du style. Les descriptions sont excellentes et les phrases coulent bien. Les scènes d'actions sont toujours aussi vivantes et dynamiques. Les discours sont toujours frappants. Le découpage du roman, des scènes et de l'avancement du récit est toujours aussi visuel et réfléchi. Les scènes de combat ne sont jamais gratuites mais servent le récit, l'ambiance et l'intrigue. ce sont des illustrations des Space wolves. Rien ne semble forcé et inclus juste pour la frime car les figures de style et les sections du roman s'imbriquent pour former un tout. L'intrigue, en particulier, est très bien ficelée. Il en dit un peu et donne des indices ici et là mais sans en dire trop ce qui évite de tout deviner dès le début. Mais, je vous le dis... tout est lié....

Les personnages sont intéressants et bien décrit, bien amenés. On veut en savoir plus et on s'y attache. Les mystères qui se cachent dans leurs ombres sont sympatoches aussi. On en découvre de belles. La totalité du roman tourne autour d'un humain, mais il y a aussi d'autres figures, dans le passé de cet humain par exemple (des collègues, des officiels impériaux...) ou dans son présent, car il évolue en compagnie de space wolves mais rencontre aussi d'autres personnages parfois déjà mentionnés ou connus... (petite note personnelle sur une révélation très classe à la toute fin ^^).

Niveau contenu fluff, on n'est pas autant submergé de détails et d'infos en vrac que dans the first heretic, il faut le dire. Par contre, on a droit à plusieurs pépites essentielles qui permettent, à mon avis, de mieux connaître les raisons qui sous tendent les événements et de mieux comprendre les décisions des grands acteurs du moment. Rien n'est dit explicitement ou très clairement, mais c'est sous entendu, je crois. En particulier, des choses comme le concile de Nikaea, l'attaque de Prospero etc. sont toutes liées à l'intrigue. Deuxièmement, on a des détails concernant des énigmes plus générales et des faits généraux. Par exemple des précisions sur la fameuse citation "il n'y a pas de loups sur Fenris", une info sur les légions perdues, une info sur les primarques et le fait que chacun avait un rôle (mais je n'en dis pas plus) et aussi sur la nature d'Horus selon mon interprétation. Enfin, dernier point et non des moindres, le roman nous donne enfin un aperçu de la vraie nature des space wolves. J'attendais Abnett au tournant. Et je suis comblé. Il nous donne une vision de cette légion qui tire ses racines du fluff connu et officiel mais qui le réinterprète et le pousse plus loin, de façon plus réaliste et plus sombre. Les space wolves deviennent vraiment redoutable et nuancés à la fois. Et donc d'autant plus intéressants. Et ça, tout en gardant l'aspect nordique et les loups. Par contre, on est assez loin de la vision de Bill King (romans space wolves). Abnett s'éloigne aussi de la tendance parfois un peu appuyée dans le table top de faire de la surenchère dans le "totem" de chaque armée (blood angels mephiston avec une griffe de sang qui utilise le pouvoir lance de sang en utilisant la règle des ailes des anges de sang.... garde loup space wolf sur loup tonnerre avec des griffes de loups et qui s'appelle canis des loups....). Bref, j'ai été surpris et enthousiasmé par cette nouvelle vision et j'en redemande.

Pour les côtés négatifs... Bah c'est du Abnett, ce qui signifie que c'est trop court. Même si la fin est chouette et classe, arrivé à 40 pages de la fin, on commence à se demander comment il va faire. Et il y arrive très bien mais on a du mal à ne pas demander 100 pages de plus ^^. sinon il y a un ou deux détails un peu curieux, par moments mais rien de bien grave ou énervant, au final.

En conclusion, un grand roman que je conseille au plus haut point.




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Message  Elda Jeu 13 Jan - 18:06

Et bien!

Voilà une critique bien appréciable qui donne l'eau à la bouche! J'ai bien envie de me jeter dans la lecture de Propero Burns. Particulièrement depuis que je lis Un Millier de Fils où les Space Wolves m'ont l'air d'avoir le rôle des "méchants".

Je suis étonné du fait que le roman ne soit pas lié à la bataille entre Russ et Magnus. Après tout, il s'appelle Propsero Burns. Et le temps d'attente lié au buzz fait sur les deux romans laissaient à penser que l'on aurait les détails de l'affrontement. Je suppose que le fanboy de base qui a adoré La bataille des abysses s'en verra déçu. Si c'est pour voir un autre coté des Wolves et de l'époque de l'hérésie, je suis preneur!

Hâte de le lire!

Et encore une fois, je suis pour le moment dans un millier de fils (un peu plus de la moitié). Et je dois avouer que j'adore. Vraiment, c'est d'une finesse particulièrement classe et agréable, qui saurait trouver sa place en dehors du rayon "roman à licence". Mais je livrerai mon jugement final une fois le bouquin terminé.

La bise, et merci pour ces nombreuses et toujours très intéressantes critiques mon DIndon.

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Message  Freepan Jeu 13 Jan - 18:31

Excellente critique ! Merci Dindon !

J'ai atrocement envie de lire ce livre surtout que le dernier tome de l'hérésie en date que j'ai lu est l'excellentissime Mechanicum donc en lisant cette série je m'attends toujours à passer des crises de lectures.

Un point seulement concernant Légion, je ne comprends pas pourquoi celui-ci ne t'a pas plus, c'est un de mes favoris. Pas la peine de polémiquer la-dessus cependant, on en avait déjà parlé ... il y a quelques temps il me semble.

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Message  Le Dindon Jeu 13 Jan - 20:25

Merci !

Je trouve que chaque auteur majeur de la BL a son style de roman et qu'ils sont complémentaires dans une certaine mesure.
Abnett a son côté film, personnages hauts en couleur, retournements (que certains qualifient de "comics" ce qui a donné le qualificatif un peu violent de "war-porn" à ses livres et que je trouve faux)
McNeil donne un côté épique avec un langage élevé.
Swallow a de bons personnages et des descriptions classes.
Ian watson est complètement barré.
Mitchell a l'humour et un style particulier léger mais sérieux.

Mais là, abnett a montré je crois qu'il dépassait les limites et qu'il a su s'étendre et ne pas se laisser confiner à ce qu'il fait d'habitude. C'est très réjouissant et ça présage du bien pour la suite. Au fait, Abnett, repose toi, soigne toi bien et évite de mourir avant la fin de nos séries préférées.... Merci.

Concernant Legion, rapidement, je crois que c'est un précurseur raté de Prospero Burns. L'idée est là et on sent que c'est pas loin d'être un bon bouquin. Mais il est mauvais, à mon avis. Essentiellement parce que Abnett s'est planté dans sa description de la Legion et que ça ne tient pas debout. Mes principales critiques sont :
1) une légion super secrète de la mort qui a des espions indétectables partout. Et tous ces espions ont un tatouage qui dit "je suis à la solde de l'alpha legion !" Suffit d'en foutre un à poil et hop.
2) un primarque qui est impossible à distinguer d'un marine de sa légion.... Horus a la classe en chef de guerre, Magnus est le cyclope rouge, Leman Russ est un Dieu nordique parmi les hommes, Sanguinius est un ange céleste... Alpharius est un nabot sans charisme. Yeah. ça colle au côté espion mais c'est vraiment con.
3) la cabale et la façon dont le primarque trahit. "Hey, faut que tu trahisse, sinon, ça va être la merde" "Oh, bah oui, tiens ! bonne idée, allez, c'est parti !"

Là, abnett a corrigé ça : c'est réaliste (les réactions), crédible, les retournements sont bien trouvés et bien préparés. Il est subtil et efficace.
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Message  Freepan Jeu 13 Jan - 22:38

Dans l'absolu ... difficile de contester, ce que tu dis est vrai.

Cela dit, j'ai aimé le côté agent secret façon 007 dans un univers post-apocalyptique.

Abnett doit sûrement aimer James Bond (fierté patriotique oblige) et moi aussi. C'est sans doute pour cette raison que j'ai été convaincu ^^
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Message  Elda Jeu 12 Jan - 22:43

Oula…

Ça faisait longtemps !

Une petite critique de bouquin ! Et oui ! Et je me (re)lance dans l’exercice en vous livrant une appréciation de ma dernière lecture : Prospero Brûle.

Et bah…j’ai pas tant aimé que ça. Et pourtant, j’aime bien les Space Wolves et j’aime bien Abnett. Zut alors ! Mais j’ai apprécié quand même. Mais je n’ai pas pris de « dan » claque comme lui seul sait les mettre. Mais pourquoi donc ?!
(Je ne reprendrai pas le résumé de l'histoire, Dindon l’ayant déjà fait avec brio)

Petite précision : si vous ne l’avez pas lu, je ne vous conseille pas ma critique. Il n’y a pas de spoile mais on peut y deviner une partie de la structure de l’intrigue, ou au moins être influencé dans son appréciation. Il est bon de savoir que ce livre est une sorte de grosse énigme en 550 pages sur fond de loups… Si vous préférez être sûr de ne pas vous la gâcher, évitez mes lignes !


Je n’ai pas adoré Prospero brûle car je l’ai trouvé lent et maladroit, malgré des passages classes et agréables et une idée générale bonne.

Commençons par le commencement… L’introduction ! Une introduction un peu longue qui est sympa mais perd de son charme à travers des pages de descriptions sur les phases sanglantes des combats. Abnett sait mettre en ambiance mais là, il tente l’intro coup de poing avec du gros spectacle (à petite échelle du moins) et finalement perd son lecteur en étalant trop de détails qui m’ont paru inutiles. C’est en tous cas ce que j’ai ressenti : des longueurs qui cassent au lieu de motiver. Bon, la classe est là mais c’est long.

Quand après une centaine de pages arrive enfin l’enclenchement de l’histoire, là c’est bon. Le contact avec les « Routs » et la description de leur intimité du point de vue d’un humain sied vraiment à les mettre en valeur. Et comme toujours, Abnett sait donner la classe à ses persos. Il a ce petit quelque chose, ce sens et cette sensibilité du détail qui font que c’est un régal : on découvre vraiment les Space Wolves. Les pages défilent. Et on se dit presque qu’on excuse ce lent début parce que c’est quand même cool. Plus encore, on découvre un personnage humain, Hawser, vraiment à la hauteur. Ses histoires sont terribles et on commence à mettre en place un gros puzzle, a tenter de piocher des indices sur ledit perso et à se prendre au jeu. C’est du lourd.

Oui.oui mais voilà. Après des pages si cool, on avance, on apprend des p’tits machins, on vit du classe, et on retombe dans le lent. Mais là c’est différent, c’est le lent sur fond d’épique avec un scénario très étrange. La finalité porte une pointe importante de classe mais la lenteur et la maladresse avec lesquelles cette fin est amenée me laissent assez partagé : autant je l’ai apprécié, autant j’en avais marre de tourner en rond. Abnett utilise des Cliffhanger à gogo sur la fin de son bouquin pour faire tenir son suspense au point qu’on en arrive à attendre quelque chose d’incroyable! En fait c’est cool mais pas au point de mériter autant d (e maladroite) attention. De plus, l’auteur fait intervenir des personnages de renom et leur oubli d’être classes pour certains, intelligents pour d’autres,… Bref, j’ai eu du mal avec cette fin. Attention, j’aime l’idée et je mesure l’importance de la révélation…mais trop d’artifices ont épuisés mon quota d’appréciation ! Et pourtant, il y a de bonnes choses dans cette fin. De très bonnes choses même : l’idée générale et la présentation du final, certains personnages, …

Enfin. A mon avis, ce livre est à lire pour tout fan de 40k. Mais il n’est pas le meilleur à mes yeux. C’est un bon roman avec une construction audacieuse mais certains travers gâchent un peu le spectacle. Dommage car il aurait pu friser la perfection ^^ Pour ma part, ça sera donc un 4/5.


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Message  Nork lechien Ven 13 Jan - 0:02

Elda le mec qui fait des critiques pour ceux qui ont déjà lut le livre...
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Message  Elda Ven 13 Jan - 9:51

Oui mais c'est délicat de faire autrement.

Pour ceux qui ne l'ont pas lu, cette phrase résume bien ce que j'en ai pensé: "Je n’ai pas adoré Prospero brûle car je l’ai trouvé lent et maladroit, malgré des passages classes et agréables et une idée générale bonne."
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Message  Le Dindon Ven 13 Jan - 11:18

Merci pour cette critique Elda !

Ensuite, pour rajouter mon grain de sel, deux choses :

1) c'est vrai que c'est difficile de faire une critique sans spoiler du tout : j'ai le problème à chaque fois quand je veux dire "c'est n'importe quoi le moment où...." ou "et quand machin fait telle chose, c'est la claque"... Donc les critiques postées ici sont vraiment des avis personnels qu'on peut difficilement étayer d'exemples concrets... Pareil, frustrant de ne pas pouvoir immédiatement partager les révélations etc... ^^

2) ça va sans dire mais ça va mieux en le disant, je ne suis pas d'accord avec Elda pour le coup ^^ J'ai trouvé le tout complètement à mon goût. jusque dans le rythme et la construction très astucieuse. Donc, zavez plus qu'à le lire pour vous faire une idée !
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Message  VULKAN Ven 13 Jan - 17:00

Ca me donne bien envie de lire par contre en étant seulement à némésis qui n'est plus trouvable, je suis bien bloqué.
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